Analyse-Livres & Auteurs-Culture
L'abbé Prévost a choisi une perspective subjective qui crée une relation de confiance avec le lecteur : il instaure un lien de connivence et de proximité dans le cadre de la lecture. Mais en faisant ce choix, il place un narrateur trop impliqué dans sa...
Lire la suiteDans Manon Lescaut, on part de lieux clos (France) dans lesquels on assiste à de nombreuses péripéties, fuites, enlèvements, séquestrations, emprisonnement, évasion etc…pour aboutir à une immensité désolée (Amérique) où le rythme s’est tari. C’est l’occasion...
Lire la suiteCe roman écrit au XVIIIe siècle se situe dans le contexte du XVIIe siècle et plus précisément de la fin de règne de Louis XIV, particulièrement rigoriste, où l’entreprise de transgression commise par les deux amants se révèle plus choquante que si elle...
Lire la suiteLe titre complet de ce roman “La véritable Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut” a été réduit par facilité de langage pour ne nommer désormais que Manon Lescaut. Il s’avère que l’auteur a voulu donner un gage de sérieux avec l’adjectif...
Lire la suiteBac 2023 : La notion de personnages en marge implique que les héros soient loin du centre et donc en périphérie. Il sera aussi question de montrer comment cette vie à l’écart du héros procure un agrément aux lecteurs. Manon Lescaut, le roman de la transgression,...
Lire la suiteL’ impossibilité de dire aux autres justifie le recours par Jean-Luc Lagarce aux monologues où l’on ne peut pas être justement interrompu. Il permet aussi d’accéder à une forme de vérité. repère : JL Lagarce : analyse Dans l’article précédent, nous nous...
Lire la suiteAu début de “juste la fin du monde”, on perçoit l’énervement d’Antoine qui va évoluer graduellement. Lorsque les mots ne peuvent être dits, la violence finit par surgir comme dans la scène 2 de la 2e partie avec la libération de la parole d’Antoine. repère...
Lire la suiteJean-Luc Lagarce instaure un intermède dans son drame, mais il ne cherche pas à en faire un élément proprement divertissant : on assiste ainsi à un curieux changement de rythme, où les différents protagonistes se cherchent, se parlent, mais sans se s’entendre...
Lire la suiteJean-Luc Lagarce organise, en effet, les propos de telle manière que rien apparemment d’important n’est dit comme dans la p artie 1, scène 2. On sent que derrière cette question apparemment banale, un enjeu autrement plus crucial se fait jour : la redéfinition...
Lire la suiteDans “juste la fin du monde”, Jean-Luc Lagarce truffe son texte de deux sortes de procédés de forme qui constituent des obstacles à la communication intrafamiliale : les répétitions (cf. partie 1, scène 1,) et les interventions intempestives (cf. partie...
Lire la suite